
Pourriez-vous vivre sans smartphone?
Vos réactions à notre dossier du mois précédent.
Moi et ma brique Nokia
J’ai maintenant 60 ans. Je n’ai pas de smartphone, mais j’ai une « brique Nokia », comme disent mes enfants. Je trouve dommage que pendant la pause de midi au travail tout le monde soit désormais occupé sur son écran. Il n’y a plus de bavardages, alors qu’auparavant nous avions l’habitude de jouer aux cartes. J’appelle donc ma femme pendant ma pause avec ma brique Nokia. Même constat dans la rue: personne ne sait ce qu’il se passe autour de lui, tout le monde est focalisé sur l’appareil. Mais comme Adrien dans votre article, il faudra un jour que j’en achète un. Dommage, j’aurais préféré racheter un jeu de cartes...
D. K.
Prix d’achat
Un voisin m’a donné votre numéro de juillet/août et j’ai trouvé l’article sur le smartphone très intéressant. Mais ce que vous n’avez pas abordé, c’est l’aspect financier, car ne pas avoir de smartphone n’est pas toujours dû à de la réticence ou de l’ignorance. Outre le prix d’achat, il faut encore payer un abonnement, des logiciels... C’est un véritable obstacle. Des cours se mettent en place un peu partout pour mettre tout le monde sur la voie du numérique, mais cela ne suffit pas. Le fossé est parfois dans le portefeuille. Par ailleurs, récemment, j’étais assis sur une terrasse et je ne pouvais même pas commander un café et payer sans smartphone (que je n’ai pas).
M.
Comme un mouchoir
Je limite l’usage de mon smartphone à l’indispensable. Je le consulte généralement le soir, avant de l’éteindre pour la nuit. Je paie par carte bancaire ou en espèces et préfère faire mes opérations bancaires sur PC. Je l’utilise occasionnellement pour appeler ou envoyer des SMS. J’accède à ma e-box avec itsme. Perdu sur la route? Je l’utilise pour sa fonction GPS. Bref, je considère un peu mon smartphone comme un mouchoir: je l’ai toujours un avec moi, mais je n’en ai pas souvent besoin.
P. V.
Photo souvenir?
J’ai eu un coup de foudre il y aura quarante ans en octobre. Trois ans plus tard j’épousais le père de mes fils et le « Pacha » de mes 2 petits-fils. C’était un matin lumineux à l’hôpital de Bavière à Liège, j’étais stagiaire infirmière et lui était blessé léger aux urgences chirurgicales.
Je voudrais retrouver un cliché du bâtiment des urgences chirurgie ou de l’intérieur de celui-ci. Quelqu’un pourrait-il m’aider?
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