L’état civil est passé au numérique

Les actes de naissance ou de mariage en papier font définitivement partie des livres d’histoire. Ils sont désormais remplacés par des actes numériques, sauvegardés dans une banque de données centrale (BDAEC).

« Chaque étape vers une numérisation accrue est une importante étape en avant. La numérisation de l’état civil ouvre la voie à une numérisation accrue permettant de rendre aux citoyens des services de meilleure qualité et plus rapides », s’est félicité samedi le ministre de la Justice, Koen Geens.

Cette numérisation permettra notamment de préserver annuellement 852 arbres (plus de 7 millions de feuilles de papier) et de faire baisser les émissions de CO2 de 1.664 tonnes.

Depuis des mois, les communes, les tribunaux et les consulats étrangers se sont préparés à l’introduction de la banque de données centrale. Les anciens actes issus des registres locaux ont migré vers la nouvelle banque de données à laquelle 589 registres communaux et 102 postes consulaires à l’étranger ont été intégrés, a précisé le ministre.

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